Découvrez Assassin’s Creed Mirage, le dernier opus de la célèbre franchise d’Ubisoft. Plongez dans le Baghdad du IXe siècle, lors de son âge d’or. Une époque où la ville était un carrefour technologique et culturel de la région. Après avoir passé plus de deux heures à jouer à Assassin’s Creed Mirage dans les bureaux d’Ubisoft Bordeaux, je suis impressionné par sa représentation de Baghdad.
Une ville immersive
J’adore les RPG en monde ouvert des dernières années de la série, en particulier Assassin’s Creed Origins et Odyssey, mais je dois avouer que je ne suis pas fan de leurs villes respectives. Ce n’est pas que je ne les ai pas appréciées, mais elles ne sont pas aussi mémorables que Florence dans Assassin’s Creed II ou Paris dans Assassin’s Creed Unity. Et cela est dû au fait que ces villes sont intégrées dans des cartes gigantesques que je finis par explorer entièrement. Dans Mirage, la majorité du jeu se déroule à l’intérieur des murs de Baghdad et déjà, je peux voir à quel point l’équipe l’a bien construite pour en faire un terrain de jeu idéal pour le parkour et un foyer narratif pour l’entraînement des Assassins.
Une reconstitution minutieuse
Pour créer Baghdad, l’équipe d’Ubisoft s’est basée sur les écrits de personnes ayant vécu l’invasion mongole et des descriptions détaillées de la ville. Bien qu’il n’existe pas de matériel physique de cette période, l’équipe s’est appuyée sur une multitude de sources littéraires. Le directeur artistique de Mirage, Jean-Luc Sala, a également tiré profit de sa propre expérience de vie dans la région pour donner vie à la ville.
Un retour aux sources
La reconstitution de Baghdad permet à Assassin’s Creed Mirage de renouer avec l’essence du premier opus de la série. L’équipe d’Ubisoft Bordeaux est ravie de redonner vie à un cadre oriental similaire à celui qui a lancé la franchise, avec son architecture et sa disposition urbaine propices aux aventures de parkour. Baghdad rappelle Jérusalem d’Assassin’s Creed tout en ayant sa propre identité.
Une ville à explorer
Après avoir joué à Assassin’s Creed Mirage, je suis impressionné par la reconstitution de Baghdad. La ville est vivante, amusante à explorer et, surtout, elle me donne le sentiment que je peux me la remémorer comme le ferait Basim. J’ai seulement visité deux de ses quartiers et je n’ai pas eu la chance d’entrer dans la cité ronde où se trouve un immense palais, mais j’ai hâte de le faire le mois prochain.
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Source : www.gameinformer.com